Neuvaine à St Pérégrin pour une personne souffrant du cancer
Que nous nous battions nous-mêmes contre un cancer ou que nous souhaitions prier pour un proche atteint de cette maladie, confions nos prières à saint Pérégrin.
Que vous souffriez d'un cancer, que vous souhaitiez confier un de vos proches malades au Seigneur, ou prier pour toutes les personnes atteintes d'un cancer et qui se battent contre cette maladie, rejoignez cette neuvaine contre le cancer et, ensemble, prions !
Demandons à saint Pérégrin d'intercéder auprès du Seigneur pour obtenir soutien, force et courage dans l'épreuve pour le malade et pour sa famille. Recevez chaque jour une prière à saint Péregrin.
O grand Saint Pérégrin,
toi qu'on a appelé "Le Merveilleux" et qui fus guéri du cancer,
intercède pour nous auprès de Dieu et de Notre-Dame en faveur des malades que nous te recommandons.
Contenu de la neuvaine
Chaque jour de la neuvaine, vous recevrez :
- un verset biblique pour s'ouvrir à la Parole de Dieu,
- la prière du jour pour confier la personne malade au Seigneur
- une invitation à poser un acte concret de foi,
- la prière à Saint Pérégrin.
Pour mieux connaître Saint Pérégrin :
Pérégrin Laziosi est né à Forlì vers 1265.
En 1282, la ville de Forlì, sous la juridiction du pape, se rebelle sous l'influence croissante du parti gibelin ; elle est, par la suite, frappée par un interdit (il y est interdit de célébrer les sacrements) du 18 novembre 1282 jusqu'à la reprise du pouvoir papal le 28 mai 1283.
Au cours de cet interdit, saint Philippe Benizi (+1285), prieur général des Servites, en visite chez ses confrères de Forlì, essaie de ramener les forlivois à la communion avec le pape, mais sans succès. Un groupe de gens le frappe et le chasse hors de la ville. Parmi eux se trouve le jeune Pérégrin qui, d'ailleurs, le gifle avec force, mais qui est profondément touché par l'attitude pacifique du saint homme qui prie pour ses persécuteurs.
Pris de remords, Pérégrin vient humblement lui demander pardon. Il se convertit et, plus tard, il demande à entrer dans l'Ordre, au couvent des Servites, à Sienne. Après quelques années, il retourne à Forlì, au couvent des Servites, où il mène une vie de prière, de pénitence, pratiquant des œuvres de miséricorde.
En 1325, atteint d'une gangrène à la jambe droite qui ne lui laisse pas d'autre choix que l'amputation, il se traîne, la nuit, jusqu'à la salle du chapitre, au pied d'une peinture du Christ crucifié où il prie en demandant la guérison. La douleur est si vive qu'il perd conscience et, en rêve, il voit le Christ descendre de la Croix pour lui toucher sa jambe malade. Il se réveille et constate sa guérison.
Vingt ans plus tard, atteint par une forte fièvre, il meurt le 1er mai 1345.
Le 27 décembre 1726, il est canonisé par le pape dominicain Benoît XIII. Son corps repose en la basilique qui porte son nom à Forlì. Sa fête est le 1er mai.
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Source : D'après la Neuvaine diffusée par le Sanctuaire Saint Pérégrin de Montréal.